L’aurore. Le soleil se levait doucement sur les collines montrant ses puissants rayons de soleil. Une brise matinale froide mais douce. L’herbe verdoyante et fraîche dégageant une odeur de verdure agréable à sentir. Une fine épaisseur de brume recouvrant tout de même le paysage qui aurait put être dégagé. Des oiseaux voletant dans l’air, chantant mille mélodies. Et dans cette brume fine où les rayons du soleil se filtraient je me promenai dans les collines. Ma robe grise clair se confondant presque avec la brume je me déplaçai avec légèreté comme-ci chaque mouvements trop brusque pourrait détruire ce petit monde merveilleux. L’encolure haute et mes yeux pétillants d’une lueur inconnue, une force palpitant dans mon sang me rendant nerveuse comme-ci j’allai passé un examen. Etrangement, je sentais que cette journée allait être riche en émotion. J’allai sûrement rencontrée quelques étalons qu’il faudra abattre… Pourtant aujourd’hui je n’ai pas le cœur à sa. Je lâche un soupire et monte mon regard vers le ciel bleuâtre. Malgré qu’il faisait tôt il faisait bon dans quelques heures la température montrera et il fera trop chaud. Je pousse un soupire et m’extase au rayon de soleil profitant de la fraicheur du matin. Puis reprend ma marche marchant dans la brume. Le visage neutre je me sentais comme « légère » chose qui depuis longtemps j’avais arrêté de ressentir. Je ronflai doucement des naseaux et prit brusquement le trot, panachant ma queue et prenant des allures de princesse. Ecrasant les fleurs qui peuplaient les collines que je continuai mon trot enchantée par cette journée. Je n’avais qu’une hâte chassé ma première proie. Un sourire perfide s’étira sur mes lèvres noires. Et puis je ralentis mon trot, laissant ma queue tomber en cascade et je pousse un hennissement d’appel. Invitant quiconque à venir me rejoindre. Et si aujourd’hui, on jouait avec le feu ?!


( je suis comme toi, les débuts ce n'est pas mon fort )

La brume fine et blanche donnant une sensation de mouillé quand on la traverse. Mes oreilles pointaient en avant et mon regard enfantin observant le paysage. J’aimai regarder les animaux faire la vie comme je fais la mienne, les observaient se débattre contre des félins assoiffé de sang ou bien devant des choses idiotes. Une chouette hulula et mon regard se posa sur l’animal, perché sur un arbre la chouette bâtit de l’aile puis recula dans le trou de son arbre et disparu dans le noir de sa maison. Un sourire se dessina alors mes lèvres et je m’ébrouai au soleil sentant les rayons de soleil provoqué un frisson. Je baillai quand brusquement un hennissement résonna dans les collines. Un hennissement plutôt viril. Automatiquement tout mes sens se mette en alors et je sautille sur place voulant absolument rencontré l’équidé en question. Je poussai alors un deuxième hennissement enfantin et secoua mon encolure commençant à grogner contre les mouches. Je soufflai doucement des naseaux et puis au loin, une silhouette commença à se former. Flouté par la brume impossible d’en savoir plus. L’animal semblait être plutôt grand et fortement musclé mais il était impossible de déterminer sa robe, son sexe, son âge (…) Je me campai sur mes sabots et mit la tête sur le côté gauche intriguée. Je poussai alors un petit hennissement de joie mais ne pouvant être entendu pour que quelqu’un de loin l’entende. Et puis j’effectua quelque pas pour raccourcir la distance qui me séparait de mon semblable. A force je commençai à croire que c’était un fantôme qui se déplaçait dans la brume. Il y avait tellement d’élégance dans ce galop qu’il semblait être irréel de plus, l’animal semblait être d’une robe assez clair et donc, confondante avec la brume. Ou peut-être que je rêvai ?